Technik
Die Malerei: zeitlose Kunst...
Als eines der sieben Künste erinnert die Malerei automatisch an Gemälde, die in den renommiertesten Museen ausgestellt sind, wie die Mona Lisa von Leonardo da Vinci. Doch sie ist eine zeitlose Kunstform, die bemerkenswert durch die Epochen hindurch existiert hat, sowohl vor Christus als auch in der Vorgeschichte, der Antike, dem Mittelalter und der Renaissance. Wenn das Malen früher nichts war, womit man sich rühmen konnte, so haben heute die Demokratisierung und die kleinen, im Schatten stehenden Maler sie zu Protagonisten der Gesellschaft gemacht. Ölmalerei, Acryl, Aquarell, Pastell oder Mischtechnik – die Malerei begeistert in all ihren Formen.
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Medium
Zeitgenössische Malerei
Von prähistorischen Zeiten bis heute bleibt die Malerei für Künstler auf der ganzen Welt eine unerschöpfliche Inspirationsquelle. Neben einem Bereich der zeitgenössischen Kunst ist sie ein Ausdrucksmittel in vielfältigen Formen. Die Pinselstriche auf einem Gemälde verbergen ein Konzept oder ein Thema. Unabhängig vom gesuchten Thema präsentiert ARTactif Ihnen eine breite Palette zeitgenössischer Gemälde.
Zeitgenössische Kunst, zeitgenössische Malerei: Worum geht es?
Laut der Chronologie folgt zeitgenössische Kunst der modernen Kunst, die zwischen 1850 und 1945 durch den Impressionismus eingeleitet wurde. Als zeitgenössische Kunst werden alle künstlerischen Bewegungen bezeichnet, die nach dem Zweiten Weltkrieg entstanden sind. Beispiele hierfür sind Pop Art, Graffiti-Kunst, Fluxus, Street Art und digitale Kunst.
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Beschreibung
BABYLONIEN / Leur passé était « devant » et leur avenir « derrière » eux !
Première ½uvre inspirée à partir de sceaux-cylindres mésopotamiens.
Période hégémonique néo-assyrienne, soit 1100 à 612 av. JC.
Personnages : un «héros» féminin-déesse tétraptère, peut-être Ishtar ?, entourée de deux sphinx diptères. Haut : de gauche à droite, lune, poisson, deux boules = astres, soleil ailé, deux poissons, monogramme de Philhelm. Dessous : déplacement de la lune ou d’un astre ?
Bas : symbole orange non identifié, comète verte, losange bleu = oeil ?, chien.
Les couleurs de fond représentent les chemins superposés de la voûte céleste !
Le texte en écriture cunéiforme (coins ou clous) reproduit sur une tablette d’argile, est une incantation au Dieu Nabu. Si la coupure des signes n’est plus conforme à l’original, voici la traduction mot à mot : « Laisse-le, lui, qui croit en toi, ne pas se couvrir de honte, o Nabu, laisse-le te suivre, fais-lui goûter la fortune, la longévité. »
Sceau-cylindre : C’est une petite pièce cylindrique sculptée de divers motifs dans des matériaux qui peuvent être une pierre : marbre, serpentine, stéatite, hématite, lapis-lazuli,… parfois du métal comme de l’or, argent ou bronze ou en faïence et verre. Son diamètre est d’un pouce, parfois beaucoup plus petit, mais rarement plus grand ! Comme c’est un cylindre, il est fait pour être déroulé, et ce, sur des tablettes d’argile, pouvant former des frises extensibles à l’infini ! Souvent l’objet était percé dans le sens de la hauteur, grâce à une cordelette, on pouvait le transporter autour du cou. Les sceaux étant très petits et les supports parfois très durs, la maîtrise des sculpteurs était évidente et demandait une longue spécialisation de la part des maîtres d’½uvres. Les sceaux-cylindres avaient une fonction économique d’authentification et de contrôle du propriétaire. Selon les époques, le motif était souvent une petite scène avec ou sans inscription des écritures originelles, avec des thématiques caractéristiques dans le temps. Les premiers sceaux apparaissent il y a plus de 6000 ans à Uruk en Mésopotamie.
Ishtar : chez les Babyloniens, ou Inanna chez lez Sumériens, parfois considérée comme la fille du Dieu de la pluie. Chaque nouvel an, le souverain était tenu d’ « épouser » l’une des prêtresses d’Inanna, afin d’assurer la fertilité des terres et la fécondité des femelles. Ce rite appelé « mariage sacré » s’est surtout généralisé à la fin du IIIème millénaire.
Nabu : A partir du IIème millénaire, Nabu, considéré comme le fils de Marduk, principal Dieu de Babylone, devient le Dieu de l’écriture, des scribes et de la sagesse. Son génie protecteur était un dragon-serpent et ses symboles les outils des scribes : un calame pour écrire et une tablette d’argile comme support.
Addendum : « Ce qui a été est ce qui sera, et ce qui est fait est ce qui sera fait, car il n’y a rien de nouveau sous le soleil ! » dixit le roi Salomon dans l’ecclésiaste (I, 9), ce que nous résumons aujourd’hui par la phrase «Nil novi sub sole ».