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Léna H. COMS
AUFSTREBENDER KÜNSTLER
Caen
Art
Einzigartiges Werk
Technik

Die Malerei: zeitlose Kunst...

Als eines der sieben Künste erinnert die Malerei automatisch an Gemälde, die in den renommiertesten Museen ausgestellt sind, wie die Mona Lisa von Leonardo da Vinci. Doch sie ist eine zeitlose Kunstform, die bemerkenswert durch die Epochen hindurch existiert hat, sowohl vor Christus als auch in der Vorgeschichte, der Antike, dem Mittelalter und der Renaissance. Wenn das Malen früher nichts war, womit man sich rühmen konnte, so haben heute die Demokratisierung und die kleinen, im Schatten stehenden Maler sie zu Protagonisten der Gesellschaft gemacht. Ölmalerei, Acryl, Aquarell, Pastell oder Mischtechnik – die Malerei begeistert in all ihren Formen.

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Medium

Acrylfarbe, eine anpassungsfähige Malerei

Die Acrylfarbe und ihre Herstellung

Acrylfarbe ist eine Farbe, deren Lösungsmittel größtenteils aus Wasser besteht. Sie besteht aus einer Mischung von Pigmenten und Acrylharz und trocknet durch Verdunstung des enthaltenen Wassers.

Die amerikanischen Drucker Leonard Bocour und Sam Golden entwickelten eine erste Version von Acrylfarbe und brachten sie 1949 auf den Markt. Später schuf der Chemiker Henry Levinson im Jahr 1963 die künstlerische Acrylfarbe, die sich in Wasser auflöst. Maler wie Andy Warhol und David Hockney begannen sie sehr schnell zu verwenden. In Mexiko wurde sie ebenfalls um 1950 entwickelt. Chemiker entwickelten sie in Zusammenarbeit mit mexikanischen Wandmalern während der Freskenmalerei an den Fassaden der Universität Mexiko.

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Thema
Menschlich
Abmessungen
L. 100 x H. 70 cm
Rahmung
Nein
Vom Künstler signiertes Werk
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Auf Anfrage
Echtheitszertifikat
i
Auf Anfrage
Beschreibung
acrylique sur toile éventrée. Travail autour de Psaume 126/127 interprété par Vivaldi. Quand je peins, j’écoute souvent une musique en boucle qui sert à focaliser mon esprit, il arrive souvent que ce soit Vivaldi : Nisi Dominus m’enchante par son euphorie mélancolique, par son extase. Il s’agit en fait d’un psaume chanté le mercredi (il y aurait de quoi faire tous les jours de la semaine), le psaume 126 chez les Chrétiens, et 127 chez les Juifs. Les paroles insistent sur la vacuité de la vie de celui qui ne croit pas, c’est terriblement moralisateur. Vivaldi et ses interprètes en ont fait un morceau léger, extatique. De même, mon obsession pour les têtes décollées n’est pas macabre, elle est une tentative de représenter la légèreté. Ces têtes ne sont pas sanglantes, violemment coupées, les visages y sont reposés, à la limite d’une quiétude extatique. Cette extase on la retrouve souvent dans les représentations religieuses d’anges ou de vierges montant au ciel, cela déborde des musées et des églises. D’un point de vue scientifique, il semble que notre cerveau ait du mal à différencier les émotions extrêmes : l’extrême plaisir nous semble parfois très proche de l’extrême douleur. C’est l’ironie d’un catholicisme masochiste : adorer dans la culpabilité quelqu’un qui est mort sans que cela soit notre faute. Souffrir sans raison et s’efforcer d’aimer et de vivre en dépit de la douleur collective. Les éclaboussures sont alors perceptibles comme la mélodie du psaume qui recouvre les paroles, ou comme la manifestation du saint-esprit (la semence du saint-esprit oserait-on dire avec un certain humour noir). PSAUME 126 [ou 127] (Cantique des degrés de Salomon) 01 Si le Seigneur ne bâtit la maison, les bâtisseurs travaillent en vain ; / si le Seigneur ne garde la ville, c'est en vain que veillent les gardes. 02 En vain tu devances le jour, tu retardes le moment de ton repos, / tu manges un pain de douleur : Dieu comble son bien-aimé quand il dort. 03 Des fils, voilà ce que donne le Seigneur, des enfants, la récompense qu'il accorde ; / 04 comme des flèches aux mains d'un guerrier, ainsi les fils de la jeunesse. 05 Heureux l'homme vaillant qui a garni son carquois de telles armes ! / S'ils affrontent leurs ennemis sur la place, ils ne seront pas humiliés. Ma série sur Nisi Dominus se parent aussi de trous, de lacérations. C’est d’abord par accident, des toiles que j’avais acquises en me disant que je les réparerais avant de les peindre, et dont la violente blessure m’a semblé fort à propos pour ce travail. L’artiste qui me vient à l’esprit est Lucio Fontana (1899-1968) dont j’apprécie les œuvres dorées, l’influence de l’enluminure et sa série de petits théâtres ; chez lui les fentes béantes, parfois proches de la lacération, m’évoquent davantage le con ou l’autre trou, que le vit. Il y a une violence forte et évidente mêlée à un souci ludique d’expérimentation de celui qui a eu l’audace de « découvrir le trou ». Fontana produit des toiles qu’il qualifie de sculptures. Plus de détails sur mon site. Cette oeuvre ne nécessite pas de cadre.
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