Entdecken Sie die zeitgenössische Arbeit von Justine Guyomard
Née en région parisienne. Autodidacte. Vit et dessine à Paris
2022 : ARTCAPITAL Salon du dessin et de la peinture à l’eau
Galerie Mona Lisa, Paris 7, Exposition avec 1 autre artiste
2020 : Expo Collective "Petits Formats" Décembre La villa des arts Paris 18
2019 : Expo Collective "Les Grandes Carrières s'exposent" 1ère édition Mars La villa des arts Paris 18
Expo Collective "Les Grandes Carrières s'exposent" 2ème édition Octobre La villa des arts Paris 18
Salon des petits Formats Décembre La villa des arts Paris 18
2018 : ART CAPITAL - Paris
2017 : Novembre "Trimundi" - Galerie des Arts Plastiques - Paris 17
Mai-Juin Lauréate du 1er challenge de la Galerie des Arts Plastiques - Paris 17
2016 : "Femmes à pouvoirs" - La Villa des Arts - Paris 18
2013 : "Femmes à Poils" - Expo privée - Paris 18
2012 : Expo collective - Mom'artre - Paris 18
2010 : "Les fofolles" - La Karambole - Paris 18
Mon monde graphique est dessiné au feutre, au pastel, au crayon ou à l’aquarelle. Les techniques étant souvent multiples sur un même dessin.
Si les éléments figuratifs sont très nombreux, il ne s’agit pas de représenter et d’illustrer.
On y croise des créatures singulières souvent en fusion avec la nature ou en métamorphose. C'est un monde intérieur, rêvé, fantasmé. Les forces et les énergies y circulent, la plupart du temps véhiculées par ou traversant des silhouettes féminines. On y est à la fois dedans et dehors, les éléments et les dimensions se mélangent, la géographie est chamboulée. Méditation ou hallucination, il faut se laisser perdre.
J’explore la porosité entre le monde intérieur et le monde extérieur. La frontière se dissout et les deux univers s’interpénètrent. On se trouve alors dans un espace qui n’est plus vraiment géométrique mais plutôt mental. On y plonge en apesanteur, on y nage dans les nuages. Je le nomme ma « Justopie ».
La Nature et la Ville sont en opposition, en tension mais aussi entremêlées. La métamorphose et la fusion sont fréquentes.
Mes créatures féminines sont puissantes. Magiciennes, déesses ou imaginaires, elles irradient, diffusent de l’énergie. Ce sont un peu mes avatars.
Je résume parfois cette démarche par la formule un peu facétieuse : « l’extérieur est à l’intérieur ». C’est un dedans/dehors à la fois intime et absolu. On est parfois en même temps dans l’infiniment petit et l’infiniment grand.
Les fenêtres, fines parois entre les 2 espaces, découpeuses de la vision et objets aspirants vers « dehors » sont aussi un élément récurrent de mes dessins.
L’imaginaire est très important et je ne peux pas nier une petite filiation avec une atmosphère surréaliste.
Mon dessin est assez « tracé ». C’est le trait, la ligne qui en sont les bases. Au début le dessin n’était que trait noir. Il s’est ensuite étoffé en noir et blanc puis plus récemment avec la couleur via l’aquarelle et les pastels.