Entdecken Sie die zeitgenössische Arbeit von Gabriel Angelo Campanozzi
Découverte de l'art en 1972 dans l'atelier de Solange Bertrand (Artiste peintre à Montigny-lès-Metz - France)
Etudes des beaux arts à Metz (Moselle - France) 1977/78
Appre,tissage de la sculpture dans l'atelier de Gilbert Lupfert (Thionville - Moselle - France) 1989/1995
Nombreuses expositions en Europe depuis les années 1980 à nos jours
Représenté à Monaco et Lausanne (Galerie By Arts)
Cotations Drouot & Akoun
Peintre - Sculpteur & écrivain
Edition peinture
1/ L'art pour l'art (2017)
2/ La lumière au travers même de l'abstraction (2018)
3/ Les couleurs de l'or (2020)
Romans - Vengeance Amère -1987 & Le camps secret - 2021
Trop souvent on me reproche de ne pas avoir ma propre identitée, pourtant j'ai gardé depuis ma naissance le même nom qui fait référence à mon père ! Toutefois, je leurs répond que je ne mange pas tous les jours le même repas. Quand j'ai fais le tour d'un style ou d'un univers, alors je vais voir ailleur si l'herbe est plus verte. pourtant, si l'on regarde mon travail depuis le début, il n'est pas bien difficile d'en retrouver la ligne conductrice.
Comme ceux qui m'ont aidé quand je n'étais encore qu'un adolescent, j'eus à mon tour l'envie de transmettre 45 années de connaissance artistique. C'est pourquoi, en 2016 j'ouvris l'atelier GC : École & Galerie d'art située à Saint Laurent de la Salanque dans les Pyrénées Orientales au sud de la France. L'atelier GC offre la possibilité de stages tous niveaux d'une journée à 1 mois et ce toute l'année. Pourquoi le sud ? Parce que tous les décors sont sources d'inspiration. Les montagnes, la mer et surtout la lumière. C'est la raison pour laquelle je me sens au plus près de mon travail. Comme la plupart des artistes j'ai commencé à peindre l’impressionnisme, j'aspire aujourd'hui à rechercher la lumière au travers même de l'abstraction. Je dois la découverte de ma nouvelle expression au hasard. Je voulais essuyer mon pinceau, et n'ayant qu'une toile vierge à mes côtés, je décidais de le frotter pour en éliminer le trop plein d'encre. Je travaillais alors un dessin sur papier chiffon. Je prenais de la couleur et j'essuyais mon pinceau sur la toile sans même la regarder. Quand il fût terminé, je prenais du recul pour en réviser l'équilibre et fit tomber au sol le tableau qui me servait de chiffon. J'abandonnais mon dessin, posa la toile sur le chevalet et décidais de retravailler ces traits qui finirent pas hanter mes nuits. Chaque jour j'affinais d'avantage ma recherche jusqu'à l'obsession de la lumière.